babybirdspoetry's reviews
70 reviews

Une vraie masterclass pour tous.tes les amoureux.ses de la littérature. Et le worldbuilding a tellement de potentiel je hurle.

J'aime trop comment ça traite la différence de culture et tout, vraiment ce manga >>>

De trop bonnes valeurs ce manga ✨

Vraiment masterclass !! De la fantasy et de la passion pour la littérature que demandez de plus ? Je vais relire ces 4 premiers tomes avec plaisir quand les prochains sortiront

L'impression que ce livre m'a fait un câlin si fort. C'était si agréable.

Je suis un peu déçue de pas avoir eu plus de pages pour profiter des personnages et de l'univers mais ça s'est quand même fini d'une très belle façon qui laisse présager plein d'espoir.

C'est déjà fini. Je n'y crois pas. À peine.

Merci pour tous ces mots. Ils ont tellement résonné en moi. J'ai un peu pleuré et souri. Ça m'a rappelé moi.

Je peux dire que ce livre m'a un peu sauvée. Je suis tellement heureuse que Octave existe entre ces pages.

J'étais décidée à ne pas me laisser impressionner par les morts, les retournements de situations et tout ce à quoi on pouvait s'attendre avec ce livre. J'ai énormément laissé traîner la fin à cause de mes études, mais j'ai tenu le coup et suis restée accrochée à ma décision jusqu'à ce qu'arrive la dernière page.

LA dernière page. La toute dernière. Qui fait que j'ai regardé dans le vide pendant plus de 30 secondes.

Ce que je retiens c'est que Edward c'est vraiment bae mais que j'ai pas réussi à m'attacher aux personnages tout du long à cause de ma super longue pause. Plus qu'une hâte maintenant : celle d'en savoir plus.

J'aurais trooop aimé que ce soit plus long. C'est souvent le problème avec le théâtre, je voudrais voir l'intrigue s'étendre sur + de pages.

Jamais un roman n'a été aussi dur à lire. J'ai pleuré pendant des heures, et pourtant ce livre m'a fait du bien. Moi j'ai eu la chance que ça ne me gâche pas la vie, je n'ai pas laissé la peur gagner, alors je n'ai jamais réfléchi à vraiment vivre en paix avec ça.

Alors merci à Jade. Merci à Ambre aussi. Mais surtout merci à Clara, l'écrivaine qui a posé tous ces mots.

J'ai eu la sensation de recouler pendant plusieurs pages, mais aussi de remonter à la surface et ça va tellement mieux maintenant. Parler c'est autre chose encore, mais déjà me le dire à moi, c'est quelque chose et c'est important.

Au tout début j'ai cru que ça n'allait pas me plaire, je trouvais pas les dialogues très fluides, très réalistes, j'accrochais pas à la plume. J'ai pensé ça et très vite les mots se sont mis à sonner tellement justes que j'en étais abasourdie. Tous les personnages, on aurait dit des personnes réelles. C'est ça qui a fait mal et tellement de bien à la fois.

Maintenant j'enrage un peu de la façon dont Léo a réagi, parce que ce n'est pas toujours comme ça, parce que peu importe la réaction, ça restera un viol. J'enrage un peu tout simplement parce qu'un viol ne peut pas raconter tous les viols et toutes les agressions et j'ai peur que certain.es n'en aient pas conscience.

(Dernier petit point, pas le plus important mais que je voulais quand même signaler : ça m'a un peu dérangée la façon dont les cheveux de Jade ont été traités, les cheveux bouclés sont pas forcément indomptables ou indociles et malheureusement c'est toujours la représentation qu'on en fait.)

Je ne sais pas trop quoi en penser. J'en arrive à la même conclusion que celle que j'avais faite déjà plus vers le milieu du livre : 1984 n'est pas très un bon roman (voire pas un roman du tout) mais c'est un excellent essai.

George Orwell a un style très graphique, et c'est presque la seule chose qui penche en faveur d'un bon avis pour ce roman.

Difficile de dire que les personnages portent l'intrigue quand il n'y en a presque pas, et ils ont beau être aussi développés que le contexte le permet, on ne s'attache pas à eux et on n'a pas envie de les suivre parce qu'ils ne peuvent PAS avoir de personnalité.

Tout est tellement concentré sur l'univers, que tout le reste, ce qui fait un roman, ne peut presque pas être développé. Tout le roman en tant que tel tient à peu près dans la partie II. Mais je me dis que si on m'avait présenté 1984 comme un essai, j'aurais aimé ma lecture. C'était super instructif et dans ce sens, je suis carrément déçue de ne pas avoir plus vu le livre de Goldstein.

En fait ce qui est super décevant c'est qu'en tant qu'essai, 1984 ne va pas assez loin et en tant que roman, il n'est pas du tout assez développé.

Son autre très gros défaut, c'est que tout a été concentré sur Winston alors qu'on aurait beaucoup gagné en profondeur sur tous les plans en suivant différents personnages, je trouve. J'aurais trop aimé voir ce roman écrit de manière beaucoup moins "structuré", beaucoup plus vivante et fluide quoi.

Alors c'est presque dommage que 1984 soit sous cette forme, mais pour tous les concepts de novlangue, de doublepensée entre autres, en faire un roman n'était pas non plus une si mauvaise idée et ça reste un livre à lire pour mieux se rendre compte de ce que peut être une dictature presque complète.

Là-dessus un tooouuut dernier point : j'ai absolument pas compris le concept de vouloir un pouvoir pur. Genre sérieux le pouvoir pour le pouvoir à quoi ça sert ? J'arrive pas à comprendre du tout et justement ça a pas été tellement développé.

(et la première partie je suis désolée mais elle est vraiment trop CHIANTE je vais pas m'en remettre, même pris en tant qu'essai c'était vraiment presque que des longueurs, j'en pouvais plus.)